Le nouveau menu de fin de soirée du Hopkins est fou raide!
J’en avais déjà parlé sur Ton Petit Lookalors que j’étais présente lors du souper d’ouverture, mais le restaurant Hopkins, situé sur le Monkland Village, est définitivement l’un de mes coups de cœurs culinaires de 2017.
Beaucoup plus qu’un simple bistro de quartier, Hopkins, nommé ainsi en l’honneur de son sympathique chef Liam Hokpins, est un véritable restaurant de destination. Et là, je vous entends dire qu’effectivement, N.D.G. est une destination exotique, parce que « c’est donc loinnnnn ». À cela, j’ai envie de répondre que ce n’est vraiment pas si pire que ça, surtout lorsque l’appât du gain est si délectable.
Et délectable, ma soirée de jeudi dernier fût, puisque j’ai eu l’occasion de tester le nouveau menu de fin de soirée, qui sera désormais offert de 21h00 à minuit du jeudi au samedi inclusivement. Soulignons d’abord la nouvelle carte des cocktails, repensée pour la saison. J’ai été accueillie avec deux nouveautés, soit le Knob Creek Orange Fizz, ainsi que le Stirred Not Shaken. Tous deux étaient frais et parfaits en ce début d’automne.
Puis, nous sommes passés aux choses sérieuses, soit à la dégustation des nouvelles créations du chef. Dans les propres mots de Liam, « l’inspiration du menu de fin de soirée était d’offrir quelque chose d’accessible au point de vue du prix, avec une variété d’options afin que chacun y trouve son compte et que chaque plat puisse sustenter quiconque souhaite continuer la fête ailleurs ».
Nous avons débuté le repas avec un petit plat de charcuteries maison, la spécialité de l’endroit puisque Nicolina, la propriétaire, est à moitié italienne. Delizioso !
Puis, nous avons eu droit au tartare de bœuf, avec shimeji marinés, croustilles de peau de canard, mousse de foie de volaille et aïoli à l’estragon. Un classique avec un twist qui se mange tout seul.
S’en est suivi le ceviche de daurade avec purée d’avocats, croustilles de lotus, radis de pastèque, vinaigrette aux agrumes, mousse de yuzu et coriandre. Frais et fin, ce plat étai mon coup de cœur de la soirée.
L’on nous en ensuite servi les ailes de canard confites avec niçoises. Croustillantes et pleines de saveurs, c’est un incontournable pour les amateurs de cette viande de volaille.
Dans la même veine, le poulet frit de Jon et sa salade de chou étaient…bons à s’en lécher les doigts, ha. ha ! Sérieusement, la cuisson était parfaite et j’aimerais bien connaître la recette du mélange à épices utilisé.
On commençait à être plus que rassasiés, mais il restait encore un plat à goûter! Les dernières, mais non moindres Tagliatelles fraîches aux tomates cerises et parmesan vieilli, qui étaient à se rouler par terre. Je suis même allée en quêter à la table voisine tellement c’était bon ! #aintnoshameinplayingthegame
La carte des vins, toujours aussi belle qu’à ma dernière visite, met de l’avant les vins natures et biodynamiques. J’ai d’ailleurs goûté à un délicieux Malbec aux arômes floraux dont j’oublie malheureusement le nom.
En ce qui concerne l’ambiance de l’endroit, Hopkins est un lieu feutré où la lumière naturelle et le décor mid-century modern scandinave, pensé par Nicolina Servello, se prêteraient très bien à une soirée en tête-à-tête, amoureux ou autre.
Pour plus d’information et pour réserver, c’est par ici.
Comments are closed here.